Livre d’Or de la 64 1/C
On les a retrouvés
DEMOLJN « Grands Pieds
» Du Pas-de-Calais il nous arrivait Morfal de permissions il était Au volant, sa bille il touchait Mais bien sûr à la quille il rêvait |
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AELVOET « Le Feu rouge
» Au C.I.T. il bulla Au G.T. il crapahuta Beaucoup de missions il se paya Mais bien souvent à la quille il pensa |
DEVOS « Nénesse
» Au C.I.T. la bière il raffolait Bien vite au gnouf se retrouvait A Reggan Il nous échappa pour se marier Dans cent jours sa chère femme il retrouverait |
BLANJARD Alain « La Rafale
» De l’Aisne il nous arrivait Au football toujours il jouait Casse-pieds il était Et la quille souvent « braillait » |
DERIE « La Mousmé
» De Tourcoing il nous arriva Au G.T. il fut muté Mais la bulle il coinça Mais la quille il espérait |
BERTON Jean-Paul « La Calasse
» Electricien se disait Mais bulleur il était Car à sa Michelle il pensait Aussi dans cent jours la retrouverait |
DELRUE « Julot » Au C.I.T. garde réfectoire il était Au G.T. à la laverie se retrouvait Bon copain il était Mais la quille le libérerait |
CORDIER Jean-Pierre « Rase-mottes
» Le Lieutenant il promenait Aussi 1er jus il passait. Au magasin d’armes il bullait Mais dans cent jours de tout cela rirait |
ELIOT « O.M.D. 330 » De la Normandie il nous arrivait Ses talents de mécano il manifestait Puis très vite 1er jus on le nommait Mais bientôt Nelly il retrouverait |
CUVELLER Michel « Moustache
» Mécanicien il était Que de G.B.O. il réparait Mais les filles il préférait Et dans cent jours la quille les lui rendrait |
FEREY « Nounours » Bon camarade il était Que de galons il méritait Aux transmissions sa bille il touchait Mais bien sûr à la quille il rêvait |
CAILLE « Fils de Zorro
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FOSSEY « La tondeuse » Au C.I.T. souvent en permission il était Au G.T. électricien il se retrouvait Et enfin coiffeur il était Mais dans cent jours la Normandie il reverrait |
CARON «
Distillerie » Que de bières il décapsula Avec son G.L.R. il crapahuta 1ère classe il terminera Et la quille il brailla |
FRELICOT
« Le gueulard » A Laon de Solex souvent nous parlait A Béchar un G.B.O. conduisait Une 403 lui fut confiée Mais dans cent jours Josette l’aidera à oublier |
DEUVE Michel
« Petiot » Ennuyeux il était Kronenbourg il aimait Son G.B.O. il adorait Mais dans cent jours, la Normandie il reverrait |
GUESTIN
« Le Fayot » Au C.I.T. mécanicien sur Berliet se disait A Béchar bien des véhicules il sabotait Une permission il s’offrait Mais en juillet comme nous il partirait |
DUMONT Michel
« Pied de vigne » Sur un Simca il débuta Sur un G.B.O., il se perfectionna Dans un bulldozer se retrouva Car trop de bibines il absorba |
HERBET Jean-Claude
« La globule » Dépanneur il était Mais bien souvent en panne il se trouvait La bibine à la clé préférait Dans cent jours cela se passerait |
DENIS «
Le Soucque » A Laon souvent sa femme il voyait A Colomb-Béchar tout triste il était A sa Jacqueline il pensait Mais un jour bien sûr la reverrait |
HAMEL François
« Car » Au C.I.T., dès le premier jour très calme on le croyait Mais comme la classe dévergondé il était A Reggan sur G.L.R. il crapahutait Mais à la quille il pensait |
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LOURDELLE
Albert « Bébert » Son G.B.O. il adorait Sans bibine il callait Mais bien souvent à sa femme il pensait Car la quille lui rendrait |
PIET «
La bonne âme » Sainte nitouche il était Du mess en tôle il passait Les cuisines et la tôle souvent il fréquentait Mais la quille lui ferait oublier |
LECUYER
Jean-Marie « La planque » De Boulogne il nous arrivait Très peu travailler, ça lui allait Fourrier, il bullait Mais du poisson toujours il rêvait |
POINCET « La passoire » Au C.I.T. Infirmier il était Au G.T. gardien de but il se défendait Secrétaire du Matériel il bullait Mais à la quille il rêvait |
LOUVAERT
« La Paluche » A Laon tire au cul il était Mais à Béchar tout devait changer Car brigadier il devenait Mais toujours il a espéré la quille |
ROUSSEAU « Le tardif » Du C.I.T. il nous arriva Au G.T. il bulla Sur son G.L.R. il crapahuta Mais bien souvent à la quille il pensa |
LEROY «
Le Ventru » Depuis Laon il espérait Avoir ses galons de brigadier Arrivé au G.T. on les lui donnait Mais la quille, peut-être, le sauverait |
RAPPE « I.N.T. » Au C.I.T. homme de base il était Au G.T. il nous arrivait En stage bien vite s’en allait Mais à la quille il pensait |
LERETOUR
« L’Humidiste » Bulleur il était Quelques outils souvent il promenait Car crapahuter semblant il faisait Mais dans cent jours il serait de retour |
ROUGEMONT « Le cuistot
» Boucher il était Toujours il se morfalait Rarement aux copains il pensait Car plus souvent à la liberté il rêvait |
MOREAU
Albert « Bébert » Un chti pur race il était A Reggan son G.B.O. il astiquait Puis maçon il devenait Mais la quille souvent il nous répétait |
ROBQUIN « Schultz » Que de bêtises il a fait Sur la bière il crapahutait Bien souvent en mission il était Mais à la liberté il pensait |
MONVILLE
« Bunny » Tire au cul il était Une permission il s’offrait A Reggan il nous échappait pour se marier Mais dans cent jours sa femme il retrouverait |
SURET Jean-Claude
« Bi Schultz » En mission il crapahutait Que de bières il décapsulait Mais à la quille il pensait . |
NOYELLE
Charlie « Le Belge » De Pérenchies il nous arrivait Le taf il l’aimait Sur son G.B.O. des prises d’air souvent il avait Mais à la quille toujours il pensait |
SIX «
Le morfale » De lui peur à table on avait Car tous les contenus des plats il avalait Très peu de travail il lui fallait Et à la quille souvent il pensait |
MENANT « La Mouche » |
SPICHER « Spi Spi » Au C.I.T. il bulla Bien souvent aux femmes il pensa A la station il picola Et en zigzaguant souvent il rentra |
O’NEILL « Nœuil-Nœuil
» A Laon déjà il désespérait A Béchar il se plaignait A Reggan il continuait Mais bientôt la liberté il retrouverait |
THERY « La Fronde » A Laon, en « Beatles » il nous arrivait A Béchar nonchalant il était A Reggan roi de la bulle il devenait Mais à la liberté il pensait |
PRUVOST
« Crâne d’obus » Les cheveux courts il aimait Coupe olympique souvent il avait Car garde réfectoire il se retrouvait Mais à la quille il pensait |
VANBEVEREN
Raymond « La bulle » Souvent le chemin de Fifine il prenait Bien souvent aux femmes il pensait Plutôt deux fois qu’une au foyer Et en zigzaguant souvent il rentrait |
PROUIN Jean-Paul « Nez
de Fraise » Au C.I.T. très calme il était Mais à la marche il nous abandonnait Au G.T. au foyer il se retrouvait Quand il servait une Kronenbourg, la quille lui apparaissait |