Livre d’Or de la 66 1/B
C.C.S.
On les a retrouvés...
LOUMIET
Jean-François (Le brocanteur) Dans son bazar tous les jours il râlait Mais ses galons faisait respecter A quelques femmes, nous pensons il rêvait Mais dans 100 jours il retrouvera les contrebandiers. |
MOROGAS
Michel (Le voyageur) Dans le sable toujours il était A Nadine souvent rêvait Aux violettes, il la retrouverait Plus que tout la quille il souhaitait. |
CASTAGNET
Jean-Noël (Spontex) Il montrait son talent derrière le comptoir Dans 100 jours à l’évier dira au revoir Mais sur la Kronenbourg s’était porté Sur son Bordeaux ira crapahuter. |
GESTA Daniel
(Sacristain) Le Gers, le désert pour lui n’a rien changé. Ici, de ses poulets on se passait Dana le morse il était noyé Mais à la quille il émergerait. |
CHAPELLE
Jacques (Onde Picsou) Toutes les quinzaines, solde nous donnait Du rabiot il avait Dans 100 jours la caisse il fermerait C’est à Marie-Christine souvent qu’il rêvait. |
DOMERCQ
Pierre (Monoprix) A Reggan, les uniformes il triait Souvent la bille il avait A Josiane il rêvait Dans 100 jours la quille l’emporterait. |
BOBERT Jean-Claude
(Bombe-tôle) Sa grande gueule faisait péter Sur la tôle s’accompagnait En soudure s’y connaissait C’est à la quille qu’il pensait. |
DESSAY André
(Garde-mite) Mort aux cons, toujours il gueulait A l’habillement est venu échouer Pour trouver chaussures à son pied Bientôt vers Mont-de-Marsan va s’envoler. |
COLY Yves
(Papa) En détente l’amour il faisait Au Sahara les murs construisait Permissionnaire bientôt il était Mais… papa il nous revenait. |
PARATGE Michel (Le défroqué) |
MAUCRIAU
Bernard (Bitiop) A Laon le clown, il faisait Pour cela, ici, il servait les gradés Dans 100 jours à Biarritz il atterrira Et sa « Gachoucha » il retrouvera. |
MONTEIL
Jean-Pierre (100.000 volts) Sans arrêt il gesticulait Souvent la crème… renversait Des mille-feuilles, nous gavait A Langon la toque va recoiffer. |
AIRAULT
Michel (La rognure) Du Stade Nantais nous parlait Au mess il fut planqué Aussi la Kronenbourg il aimait L’avion pourra malgré tout l’emporter. |
POURADE
René (Frein de vélo) A Vercingétorix il ressemblait Une moustache arrogante il portait « Bidoche » nous faisait bouffer A la quille fusil va lâcher. |
BROUSSE
Georges (Pompier) Toujours discret il était Cœur sous la main il avait Le stage de pompier il a fait Pour pouvoir nous désaouler. |
FRERE René (Et ta sœur
– Le gaulois) |
THOMAS Jean-Michel
(Biplan) A Laon ou à Reggan toujours il planait A la trésorerie, la solde il calculait Branleur, il est toujours resté Mais c’est pour la quille qu’il atterrirait. |
BLANCHET
Jean-Claude (Cha-claque) A l’atelier du corps fut muté Les Gazelle souvent il réparait A sa fiancée il pensait Vers elle, l’avion l’emporterait. |
MAZZER Mario (Le pruneau) |
GARDELLE Daniel (Judoka) |
BERCHER
Jacques (Clé à Molette) De Laon célibataire il nous arrivait A Reggan Papa il devenait De « Berthe » il aimait s’occuper Mais dans 100 jours la quille il aurait. |
Document transmis par Jean-Pierre FORGERONT
Contingent 66 1/B – Chauffeur du lieutenant à la 1ère
Compagnie