Les premiers pas d'ARIANE... suite

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Le Grand Sud Oranais
1948-1962

Béchar de 1948 à 1962

Vue depuis la verticale de la Zousfana :

1er plan
- L’ex place du Tanezrouft et
  devant la caserne de la Zousfana (1956)

2ème plan
- De gauche à droite : le cercle officiers et civils (1950)
- La cathédrale du Sahara
   (Pères blancs Huchon construite en 1954)
   Duvollet Armel (ex pilote RAF - Tiger -Capitaine 2ème DB)
- Le centre ville et sa rue principale quelques 500 âmes

3ème plan
- La palmeraie, Debdaba

dernier plan
- Le djebel Béchar avec la Zousfana, et à gauche,
   le champ de tir pour les 75 mm.


Béchar de 1948 à 1962

Colomb-Béchar

1er plan
- L’oued Béchar
- Le pont Mirasoli
- La maison Mirasoli à droite (prolongement du pont).
- Palmeraie (x palmier par habitant)

2ème plan
- Béchar en 1948, plus les agrandissements successifs
- La cathédrale du Sahara, messe hôtel officiers et civils
- La piste vers la gare, la base terre, le Génie,
   le petit hôpital (1 médecin, 1 infirmier)

3ème plan
- Le PC affaires indigènes
- La Zousfana, la 1ère C.S.T.
- L’E.R.M.
- Le barga


Colomb-Béchar
1949-54
Place des Chameaux
1949
Rue principale,
Béchar centre – 1950
Béchar, pose de la 1ère pierre par Mgr Mercier,
Père Huchon, Père Duvollet et
Monsieur M J.C. Chauchard
1954
Le Ksour, Bidon 2
1950
Poste de soins
1948
La piscine municipale
1949
L’oued Béchar déborde,
le pont Mirasoli est submergé
1950

Béchar 1948

Béchar était une petite oasis en 1948. Seuls les 100 mètres de la rue principale étaient goudronnés.
Les maisons étaient faites de toubes, sorte de parpaings à base de torchis, les toits étaient plats, recouverts de palmes de palmiers et de chaume enduits d’une couche de terre glaise. À la moindre pluie, ici en trombe, elles s’écroulaient, selon les habitants, c’étaient des maisons en chocolat.
En quelques années la ville a quadruplé. Elle deviendra par la suite la préfecture de la Saoura. Et la population passera de mille personnes en 1948 à quelque 100 mille en 1962, mais le désert existe dès la sortie de cette petite oasis, en chocolat...
C’était à l’intérieur et à l’extérieur la piste ondulée, un sol rocailleux, sablonneux avec en plus la sécheresse, comme dans le désert du far-West.
Ce désert est une sorte d’animal, il n’accepte pas d'être domestiqué… le pays de la soif…

 

Un groupe de femmes,
la corvée d'eau — 1949-50
Béchar, Debdaba
Chaque habitant était propriétaire
d'une ou plusieurs palmier-dattiers
1949-50
Arcades et toiture,
palmes et chaumes
1949-50