Édouard CHAVATTE

appelé du contingent 64 2/C
CCS
- Radio

 

CIT 152 à Laon le 5 novembre 1964
3ème GT à Reggan du 3 avril 1965 au 3 février 1966

 

Les photos et légendes sont de Édouard CHAVATTE

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CIT 152 à Laon
Noël 1964
Réveillon du 24 décembre 1964
14 février 1965
Prise d'armes à l'occasion de la visite des anciens combattants
Prise d'armes anciens combattants

 

3ème GT
L’avion qui nous amène en vacances. J’étais dans la soute
Après une nuit de veille radio
Trans à Béchar
Pour ne pas avoir froid nous étions sous la tôle

Aïn el Turk
« Gazelle » dans un GBO
en cours de mission
Reggan-Béchar
Un vrai camion

La Légion

Halte et bivouac
au Kreider
Vue sur Oran
En route pour
Mers el-Kébir
Les gorges de Mascara

Quand elle sera grosse les officiers la mangeront et nous les regarderons
Au bord de la piscine
des officiers

Anecdotes :

Piqûre de rappel avant libération
Comme tout le monde j’ai eu droit à cette fameuse piqûre.
Nous nous sommes assis sur un banc environ 10 ou 12 condamnés à l’injection. Le toubib est venu nous rassurer. L’infirmier, très vraisemblablement quelqu'un qui s'est retrouvé volontaire pour cette opération, a commencé par le premier avec une énorme seringue et vite que je te donne la dose sauf que les 3 derniers dont je faisais partie ont été vaccinés pour mémoire.
Néanmoins sur le carnet de vaccination il est inscrit « a subi la vaccination de rappel ».
C'est dire que la peau d’un saharien est coriace.

Tir au FSA 49/56
En fin de séjour, dans les bureaux, ils se sont aperçus que je n’avais pas tiré depuis mon arrivée au 3ème GST.
Un matin je dois passer à l’armurerie percevoir mon arme. Je précise que l’armurerie était en face du bureau de semaine. Je prends mon mal en patience. Quand arrive mon tour le préposé à la distribution me dit « il n’y a pas d’arme pour toi ». Nous montons dans un camion et direction une dune. Installation des cibles et retour 200 m en arrière. Je vais voir l’officier qui commandait le tir pour lui expliquer mon cas.
Cet officier, très vraisemblablement venu des bureaux pour se faire voir, me passe un savon de première. Je me mets en position du tireur couché et je fais feu pour du vent. Bien sûr au résultat NÉANT. Reengueulade.
Comme je ne sais pas tirer, il prend le FSA d’un autre, se met en position et la culasse revient en arrière et lui ouvre le front.
De suite la séance de tir a été terminée. Je n’ai plus jamais entendu parler de cet officier ni de tir.

Rose des sables vue à Cabestany (66)


45 ans après